La laïcité: quels enjeux pour la République et la société ?
Lundi 23 mai 2011 à 18h à l’Hôtel Westminster (27 promenade des anglais, 06000 Nice)
Conférencier :
Conférencier : M. Jean-Michel DUCOMTE, président national de la Ligue de l’Enseignement, avocat, enseignant à l’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse.
(A notamment publié « La République », « La démocratie », « La loi de 1905. Quand l’Etat se séparait des Eglises », « La laïcité » (Les Essentiels. Milan Editeur), « Regards sur la laïcité » (La Documentation Républicaine).
Texte de présentation :
La laïcité est présentée comme une singularité française, comme le produit d’une histoire originale. Le modèle qu’elle a permis de construire est le point d’aboutissement d’un combat, engagé à partir de la Révolution de 1789 et qui s’est poursuivi sous la IIIème République. Il s’est conclu par une reconnaissance constitutionnelle. Rares sont les principes dont l’universalité s’impose avec une évidence aussi forte. Son aptitude à rendre démocratiquement vivables les conséquences d’une complexité sociale qui va croissant lui confère une très grande actualité. Mais le combat n’est cependant pas terminé pour ceux qui, attachés à cet instrument de paix civile et religieuse, souhaitent offrir un cadre universel à la liberté de l’esprit.
Conférencier :
Conférencier : M. Jean-Michel DUCOMTE, président national de la Ligue de l’Enseignement, avocat, enseignant à l’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse.
(A notamment publié « La République », « La démocratie », « La loi de 1905. Quand l’Etat se séparait des Eglises », « La laïcité » (Les Essentiels. Milan Editeur), « Regards sur la laïcité » (La Documentation Républicaine).
Texte de présentation :
La laïcité est présentée comme une singularité française, comme le produit d’une histoire originale. Le modèle qu’elle a permis de construire est le point d’aboutissement d’un combat, engagé à partir de la Révolution de 1789 et qui s’est poursuivi sous la IIIème République. Il s’est conclu par une reconnaissance constitutionnelle. Rares sont les principes dont l’universalité s’impose avec une évidence aussi forte. Son aptitude à rendre démocratiquement vivables les conséquences d’une complexité sociale qui va croissant lui confère une très grande actualité. Mais le combat n’est cependant pas terminé pour ceux qui, attachés à cet instrument de paix civile et religieuse, souhaitent offrir un cadre universel à la liberté de l’esprit.